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.Lettre Ouverte.
Voyez ici quelques vers couchés sur le papier, une nuit de 30 novembre 2003.
Vers mélangés, amour des maux...
Vienne la nuit, sonne l'heure et je deux meurs.
Hasard des détours
Virtuel et cacher ce réel
Rencontre improbable, amours
Un pas sur les mots, materiel
Tendre passion, commune vision
L'univers a ses mysteres, commentaire
Une heure, une vie de sillons
Tranchée entre deux mers
Distance, gibet de potence
Sur l'autel du sacrifice
Je ne peux que souffrir du vice
Alimenter tes désirs, manigance
Vinrent les jeux t'aime
Messages chargés d'ions
At home crochus de même
Complaisance, freres de mutilations
Premiers émois, et moi
Deux êtres unis pour l'instant
X que la musique tutoie
Mille laines que ses mains tenant
Sa voix m'est benediction
Mon Ange, mon Coeur
Que se passe-t-il compagnon ?
Des Etats d'âme dont je meurs...
Corps charnels du besoin
Tout s'écarte de mon destin
Faut-il que je cède, tu es si loin
Je ne te promets pas de lendemains
Chanson d'interpretes maudits
N'aies pas de regrets qu'il me dit
Comment ne pas ceder à l'envie
D'envoyer au diable ces machineries
Peut-etre ne suis-je pas l'Elu
Mais j'aurai berçé son âme
L'embrassé, le toucher par pensée
Est-ce là ma peine du monde
Ainsi soit cette bribe de vecu
Alimente-là autant que tu veux
Je m'éteins à petits feux
Tu sauras me retrouvez à nu
Là, au mileu de ton toit
Entre ton coeur et tes "sais pas"
La raison a ses douleurs
Que le choix seul resoudra...
***
Tu as berçé mes deux semaines de joie, viennent maintenant les peines. Je ne peux tirer un trait sur ce qui s'est passé...
Petite âme fragile, petite homme fébrile, marche toujours droit et au diable les qu'en dira-t-on. Nous n'avons pas choisi, nous subissons...
Tu as cette chance d'avoir un ami d'infortune...Je ne demandais au ciel que cela...il en a été autrement.
Ainsi ai été le début de ma vie.
Au commencement il y avait toi...
je t'aimais, je t'aime, je ne saurais t'aimer.
***
"Je n'ai pas le temps de vivre
Quand s'enfuit mon équilibre
Je n'ai pas le temps de vivre
Aime moi, entre en moi
Dis-moi les mots qui rendent ivres
Dis-moi que le nuit se déguise
Tu vois je suis Comme la mer qui se retire,
de N'avoir pas su trouver tes pas..."
Mylene F.
***
A Alexandre.
_______Lueur d'une nouvelle année_______
Aujourd'hui, nous nous sommes enfin retrouvés...Cette nuit du 2 janvier 2004 m'a frappé en plein coeur. Plus d'un mois sans ta voix, ce fut long. Nous nous croisions, nous nous touchions par ces petits mots de politesse, banals...Comment pouvais-je encore y croire, croire à un "nous" ?!
Il aura fallu une seule fois pour te faire douter, puisse-t-elle être la dernière.
Reprenons notre bonhomme de chemin, souhaitons-nous le meilleur à venir, un petit nous et tout ira bien, je te le promets.
***
"J'écris sur ce que j'endure
Les petites morsures, les blessures
J'écris ma peur
Mon manque d'amour
J'écris du coeur
Mais c'est toujours
Sur ce que je n'ai pas pu dire
Pas pu vivre, pas su retenir
J'écris en vers
Et contre tous
C'est toujours l'enfer Qui me pousse
[...]
J'écris comme on miaule sous la lune
Dans la nuit, je trempe ma plume
J'écris l'abcès
J'écris l'absent
J'écris la pluie
Pas le beau temps
[...]
On n'écrit pas qu'on manque de rien
Qu'on est heureux, que tout va bien
Voilà pourquoi
Je n'écris pas Sur toi
[...]
On n'écrit pas la chance qu'on a
Pas de chanson d'amour quand on en a
Voilà pourquoi, mon amour
Je n'écris rien Sur toi
Rassure-toi..."
Zazie, Sur Toi.
***
Mes "je t'aime" les plus impersonnels.
...|ton FaBaToi|...