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Une rue, un quartier, au coeur du Paris rive droite...d'étroites ruelles, des boutiques dissimulées au coin des carrefours, ici l'odeur des stroudel aux pommes, là-bas des livres de photos érotiques masculines sont mis au regard des passants, en face, à deux pas de là le théatre Trévise, non loin du connu Gai Moulin...un dimanche après-midi de septembre, je me promène avec lui.
Il faisait si bon...le ciel était bleu, aucun nuage de laissait présager un temps maussade, le vent, doux, caressait nos visages.
Nous parlions de tout et de rien, nos regards se croisaient, et croisaient ceux des beaux éphèbes endimanchés, tenus au bras de leurs amants.
J'avais envie de le prendre par le bras, de me coller à lui et de respirer son odeur si singulière. Il fuyait mes tentatives, tantot par la tete, tantot en s'écartant de moi. Ca ne me blessait guère, bien au contraire, cela redoublait en moi mes envies tactiles.
Le temps d'une pause bien méritée fut venue. On frôla le parquet en vieilles lames d'un petit bar lounge et on décida de s'asseoir sur la banquette toute de velours pourpre revêtue.
Dialogue de sourds...je remuais ma cuillere dans mon verre de Perrier Citron, lui s'amusait avec son telephone portable. La situation me mit mal à l'aise, tout le week-end s'était pourtant bien passé, mais là une ambiance pesante pris place sans avoir demandé si elle était la bienvenue. Je défiais ce silence et lui demandais ce qu'il avait pensé de notre week-end...Je savais que je courais droit vers la négative, mais il fallait qu'il se livre à moi.
Du positif, mais surtout du négatif...deux caractères forts mais néanmoins assez décalés. La différence de 15ans d'âge m'assura-t-il...Personnellement ce qu'il avançait n'avait que très peu d'influence sur mon propre avis, m'enfin...Quoi qu'il en soit, j'ai reconnu que ça n'était pas l'amour escompté, mais plutot une tendre complicité.
Avec du recul, et un réalisme assuré, je n'étais pas sous son charme. Attention cela n'exclut pas que je ne l'ai jamais été, bien au contraire...dans le virtuel il était mon être charmeur, ensorcelleur. Dans le réel, il n'était que l'ami bienveilleur...
1 mois aujourd'hui que cette romance à commencé...
4 jours qu'elle s'est finie...
Un dimanche apres-midi de septembre à Paris,
j'aurai aimé être l'éphèbe accroché à son bras...
J-L.N.
J'ai appris aujourd'hui que Kylie Minogue est en phase 1 d'un cancer du sein...Ca m'a foutu un coup au moral, déjà pas bien haut ces derniers temps...
Elle se battra comme une princesse ma Kylie, nul doute...
We all have a cross to bear...
xxx
19H30...arrivés à l'hotel. Elle nous dépose devant l'entrée, nous claque une bise bien humide comme à son habitude, et nous souhaite un bon week-end agrémenté d'un clin d'oeil coquin à l'un des deux. Elle ne cautionne pas ce qu'il fait, mais elle sait qu'il va passer un bon week-end et qu'au moindre probleme elle saura certaiment etre là...Pour l'heure elle quitte la grande place, et s'en retourne chez elle, en pensant déjà à ce qu'elle allait bien pouvoir se mettre sur le dos pour s'éclater en discotheque ce soir là...
Il est vêtu de noir, je ne l'imaginais pas aussi rongé par la tristesse, pensais-je. Non, c'est sa manière de se vêtir habituellement. Il passe inaperçu et pourtant dieu sait comme il aimerait être sous les feux des projecteurs, ameutant une horde de mâles en mal de mâles. Une longue redingote toute noire repose sur ses larges épaules. On monte les 3 marches qui composent cet escalier menant à l'antre de l'hotel 3 étoiles. J'ai fait fort, et ça me ressemble. Il m'ouvre la porte, il est gentleman. Nous nous avançons au comptoire où nous sommes tout deux acceuillis du beau sourire de la charmante receptionniste. Elle nous confie les clés de ce qui sera notre chambre de ce soir vendredi à lundi midi. C'est au 3ème. Je m'empressais de rejoindre notre nid quand elle nous souhaita une agréable soirée. La politesse s'oublie vite lorsque les idées frêles mais abondantes nous hantent...Nous prîmes l'ascenseur, très intimiste d'ailleurs, et débarquâmes au 3eme étage de cet hotel typiquement alsacien...
Je n'arrive jamais du premier coup à tourner dans le bon sens la clé miracle. Même s'il s'est moqué de moi, ça me passait au desssus de la tête, je pensais au bon petit resto qu'on allait se faire et à la soirée qu'on allait passer...Tête à tête, au clair de bougie, en se rapprochant, se rapprochant, puis une ballade dans les rues de la capitale européenne, un petit détour par la Petite France et un crochet par la cathédrale pour enfin s'écrouler de fatigue sur notre lit dans la chambre.
Il se déchaussa, balança sa valise au sol, l'ouvrit mais n'en sortit que ses affaires de toilette. Sa redingote était étalée au sol, la TV allumée et TF1 nous offrit ce que la télévision a de plus beau depuis ces 4 dernieres années...de la "réalité". Je déballais complètement mes affaires tandis qu'il était allongé sur le lit de ton son long. Mes affaires de toilette dans la salle de bains toute de blanc immaculé, mes chemises accrochées délicatement sur les ceintres prévus à cet éffet, mon manteau -noir- plié sur la chaise en bois d'ébêne, mes chaussures sous le bureau. Je ne suis jamais aussi ordonné que lorsqu'un garçon pénètre dans mon intimité.
21H15...Je le relança à plusieurs reprises concernant notre petite soirée que j'avais imaginée voilà quelques jours déjà. Il en fit fi, préférant se reposer là, tranquillement. Mon ventre cria famine, mais rien que de songer à partager seul un repas avec moi-même me fila la frousse. Je restais donc là, à coté de lui, allongé sur le dos, observant le plafond peint de notre chambre. Quelques minutes s'écoulèrent, je me retournais sur le ventre, et lui faisais dos. Il se mit à jouer à un jeu dont l'exasperation me vient de façon très brutale. D'abord le bras, puis le flanc, en finissant par le ventre, il me chatouilla de plus belle. A force de "arrete où je vais m'enerver", il fit monter en moi la tendre colère que j'éprouvais à ce instant. "ah bon, tu vas t'enerver ?" me fit-il de son sourire mi-démon, mi-ange. "Oui, je vais m'enerver, je deteste ça...", il reprit son jeu de mains et d'un revers de maître je m'emparais de ses poigner d'une main, lui tendant les bras au dessus de sa tete, et me mis à califourchon sur lui, ma tête au dessus de la sienne.
Et une claque de plus, que dis-je, un revers cette fois-ci !Y'a pas à dire, je les accumule, contre mon plein grès, mais bon, c'est ainsi...
Fabrice est une connaissance à Anne. Il est le meilleur ami à un ami à elle. Nous nous sommes vus mercredi soir, autour d'un hamburger, d'un coca et d'une portion de frites. D'emblée, je ne pouvais pas dire qu'il était mon style, certes. Nous sommes opposés: il est très grand, je suis grand, il est mince, j'ai quelques kilos en trop, il s'habille normalement, je m'habille tendance-chic, il vénère la transe, moi plutot l'electro jazz, il est timide, je suis un faux-timide, il cotoie les câbles USB, je cotoie les boules à facettes, il cherche un emploi, je suis étudiant,... la liste peut encore être longue, mais une chose essentielle nous anime toutefois: le désir d'avoir une relation stable une fois pour toute.
Partant de ce constat, je pensais que ça pouvait coller, ou du moins qu'on allait pouvoir essayer. Notre petite soirée était sympatique, on a un peu discuté, mais pas comme si nous étions tout deux. Peut-etre n'aurions nous eu rien à se dire, qui sait. Mais ne dit-on pas que les contraires s'attirent ? Ne dit-on pas aussi que "qui se ressemble, s'assemble ?"...et là, je me plante en beauté.
Je me suis imaginé avec lui l'espace de quelques heures si l'on rassemble tous les petits moments où j'y ai pensé, et bon, c'est vrai, sans grande conviction. Je ne me forçais pas à me sentir bien lors de ces pensées, je m'étais dit qu' avec Fabrice il aurait fallu du temps pour construire une forte relation, mais qu'au bout du compte ça irait très bien...Voilà comment j'imaginais cela: un début très "TGV", comprenez rapide, et ensuite on ralentirait la cadence pour mieux se connaitre, et établir des fondations...
Du moins, j'aurai tenté une relation...J'aimerai savoir ce que vous en pensez vous ?
Etes-vous plutot du genre à essayer quand même quelque chose, histoire de voir si ça peut fonctionner, ou plutot renoncer dès le depart ?
Moi je réponds première solution...qui tente rien n'a rien. Lui a choisi la 2eme solution. Tiens, cela me rappelle étrangement mon paragraphe du début où je vous confiais nos différences...logique.
J'en finis là pour ce soir, mon état etant plutot bancal. Comme m'a dit Anne via sms il y a tout juste 20min, "tu est triste parce que l'Amour te boude encore une fois."
Mais dites-moi qu'il y a quelqu'un qui m'attend quelque part sur cette fichue planete !
OpTiMiSTiK, trying to hang on, hang on.
Je le regarde, je le dévore
Il ne dit rien, ses lèvres mord
Je fais un pas, feutrées les voix
Il tremble un peu, première fois.
Comme souvent, j'écris quand ça ne va pas...de toute façon mes écrits sont d'un chiant lorsque tout va bien...je m'autopathétise que voulez-vous...
Lire la suite de l'article...Ce soir, une courte histoire...Ou plutot un court post...à cours de posts peut-etre aussi.
Bref, après avoir Madonna, que rever de mieux ?Ou du moins de tout égal...
KYLIE EST EN CONCERT LE 26 MARS AU ZENITH A PARIS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Priez pour que je puisse encore avoir une place demain !!!
Voilà, bah euh c'est tout...la suite au prochain numéro !
Un FaFa qui se fait un sang d'encre.
(bah ouais, Kylie, quand même...)
Entre mes révisions ce soir
J'ai l'âme qui s'enfuit
Comme fendu est mon miroir
Et déjà c'est toi que j' envie.
J'ai butté sur tes écrits
Ce poême, cette lettre me font revivre
Ta main qu'à frôlé la lie
L'encre noire déposée m'ennivre.
La distance me pèse ô combien
T'avoir caressé tes cheveux de ma main
Murmure-moi tous ces lendemains
Ceux que j'aurais voulu faire miens.
Dans ton pays loin là-bas
Tu revêts ton costume d'apparat
Plus beau que son légionnaire
Mon Amour, tu vains de tout tonnerre
Entre deux feuilles de cours
Mon âme t'a rejointe en contre-bas
Je marche a compte-rebours
Le temps m'est long sans émois...
...et toi.
C'est en achetant la dernière parution de Têtu vendredi soir que j'ai remarqué le gout prononçé des médias pour le nouveau phénomène à la mode: les blogs.
Lire la suite de l'article...Ce matin à1h, j'allais me coucher dans mon lit. Cependant, moi qui dors en boxer et t-shirt n'en avais pas hier soir. Il m'en fallait un nouveau, donc direction mon armoire magique...j'ouvre la porte miroitée aux merveilles, j'avance ma main dans la pénombre pour prendre le 1er t-shirt de la pile. Je passe ma main sur ce qui semblait etre une matière accrocheuse, avec des incrustations de lettres en relief... Comme aucune lumière n'était allumée, j'en allume une, je sors le t-shirt et là...au bord de la crise cardiaque...
Lire la suite de l'article...