Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)

a m bi g u i t é s


Index des rubriques

Recherche


Session
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Mot de passe oublié ?


Ailleurs sur Joueb.com
Encore et encore...

Dis-moi pourquoi je pleure encore dans mon lit, dis-moi pourquoi t'es encore là dans mes pensées, pourquoi tu t'entiches à me hanter...

Nous avons fait notre chemin, je t'ai dit, je t'ai crié après, t'ai sommé de partir, de me fuir, mais sans cesse, je sens ta présence là, comme au premier soir de notre rencontre...C'était si tendre, mon Amour, c'est gravé là dans ma mémoire.

Je fermais mes yeux hier soir, des larmes perlaient. Ca y est, mes tourments reviennent, la valse des pensées, des images. Je pense etre perdu, je me sens abandonné de tes bras, de tes baisers, de ton regard. J'ai beau te haîr, je n'y arrive pas. Tu vois, c'est comme si le temps s'était arrété lors de notre rencontre. Un espace temps sans heures, sans minutes, juste notre bulle, bulle de chagrins, bulle d'incertitudes...

C'est peut-etre un manque d'affection, je n'en sais rien. Je me demande si un jour quelqu'un pourra te remplacer, pour le moment je crainds que non. Comment peut-on reproduire ce qui s'est déjà produit...non, c'est de l'utopie. Tu ne me reviendras pas, je dois te rendre ta liberté. Mais ô combien mon coeur en souffre. Tu n'es pas là, je suis loin de toi, à des kilomètres, des années de toi. J'aurai tout donné pour te voir grandir près de moi. On aurait été un couple parmi tant d'autres, mais qu'importe les autres, tant que nous sommes tous les deux réunis.

Tu sais j'endure beaucoup de choses, personne ne peut réellement comprendre ce qui m'arrive, même plus toi. Comment sont les autres, comment vivraient-ils pareille situation, eux ?Certainement avec une pointe de légerté, une pointe qui m'assassine un peu plus chaque jour qui passe. Même si desfois ça va, desfois c'est un désastre... Je vis, je survis, mais eux là que je vois, à qui je parle, mes proches, mes amis, des quidams, eux que j'observe du coin de l'oeil, eux, comment auraient-ils pu comprendre ?

Faudrait-il encore une fois que je plonge dans l'eternelle mélancolie des mots, ou passerait-je cette étape cette fois-ci...Je n'étalerai rien, je penserai tout bas...

 

 

Tu me manques tellement mon petit homme...

Ecrit par OpTiMiSTiK, à 02:22 dans la rubrique "My Own Private Life".



Modèle de mise en page par Milouse - Version  XML   atom